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LEMGARBA, un village à l'autre bout du monde
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LEMGARBA, un village à l'autre bout du monde
Le village « L'mekarba », dépendant administrativement de la commune Harbil (daïra de Guenzet), était considéré, durant la décennie noire, comme l'un des sommets du « triangle de la mort » (Babour, BeniAziz, Guenzet).
Ses habitants ont souffert le martyre durant la tragédie nationale, chose qui les a poussés à s'exiler à Bougaâ, Sétif, Bordj Bou Arréridj et Alger, laissant derrière eux un paradis de terres agricoles et des centaines d'hectare d'oliviers, avec l'espoir de les retrouver un jour. Cette région qui comptait des centaines d'habitants, ne recèle aujourd'hui que deux familles, qui n'ont pas trouvé d'autre refuge. En dépit du fait que le pays ait retrouvé sa sérénité, cette région, qui n'est qu'à 7 km du chef-lieu de la commune, reste toujours enclavée, totalement isolée du monde, sans routes ni transports, sans parler de prise en charge médicale, que les citoyens voient comme un luxe. Il est à préciser d'ailleurs, que les femmes accouchent à la maison, dans la pure tradition. Dans ces conditions extrêmes, la scolarité des enfants est perturbée, principalement après la transformation de l'unique établissement scolaire en garnison de la garde communale durant la décennie noire. Le manque d'écoles a fait de l'instruction le privilège des garçons. La déperdition scolaire en ces lieux oubliés, ou mis entre guillemets, c'est selon, frappe durement la gente féminine, mise à rude épreuve.
A. Benhocine
Source:EL WATAN le 25/03/2010
Ses habitants ont souffert le martyre durant la tragédie nationale, chose qui les a poussés à s'exiler à Bougaâ, Sétif, Bordj Bou Arréridj et Alger, laissant derrière eux un paradis de terres agricoles et des centaines d'hectare d'oliviers, avec l'espoir de les retrouver un jour. Cette région qui comptait des centaines d'habitants, ne recèle aujourd'hui que deux familles, qui n'ont pas trouvé d'autre refuge. En dépit du fait que le pays ait retrouvé sa sérénité, cette région, qui n'est qu'à 7 km du chef-lieu de la commune, reste toujours enclavée, totalement isolée du monde, sans routes ni transports, sans parler de prise en charge médicale, que les citoyens voient comme un luxe. Il est à préciser d'ailleurs, que les femmes accouchent à la maison, dans la pure tradition. Dans ces conditions extrêmes, la scolarité des enfants est perturbée, principalement après la transformation de l'unique établissement scolaire en garnison de la garde communale durant la décennie noire. Le manque d'écoles a fait de l'instruction le privilège des garçons. La déperdition scolaire en ces lieux oubliés, ou mis entre guillemets, c'est selon, frappe durement la gente féminine, mise à rude épreuve.
A. Benhocine
Source:EL WATAN le 25/03/2010
harbili.- Invité
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