Yennayer et le Mouloud à Kordjana

Fêtes de Yennayer et du Mouloud à Kordjana
Le petit village de Kordjana, à quelques encablures de Tittest, le chef-lieu de la commune de Tittest, a vécu depuis samedi 11 janvier, des moments festifs, au rythme des préparatifs des fêtes de Yennayer, le nouvel an amazigh, et du Mouloud, anniversaire de la naissance du prophète de l’Islam, Mohammed, que le salut soit sur lui.
Dès samedi, les préparatifs de l’Ouzia ou timechrith, ont commencé: trois génisses ont été immolées près de l’ancienne fontaine, Aïn Ledjnane, désormais désaffectée, dans une ambiance joyeuse, surtout pour des dizaines d’enfants, ravis de pouvoir gambader et toucher de près les animaux.
Le dimanche a été consacré à la découpe des animaux, à la vente aux enchères des têtes et des peaux. Le lundi, la viande a été partagée en plus de 200 parts, au prix de 2.000 dinars l’une. Déjà, dans les foyers, les cardons et les navets, les rois incontestés du couscous, sont prêts pour rehausser le goût du bouillon et la viande tendre et gouteuse.
Les habitants ont ainsi retrouvés, pour quelques jours, les habitudes de leurs ancêtres et les traditions de partage et d’entraide qui les caractérisent.

larbi Kordjani

Revoici corrigé: lire à la première ligne, chef-lieu de la commune de Harbil.
Fêtes de Yennayer et du Mouloud à Kordjana
Le petit village de Kordjana, à quelques encablures de Tittest, le chef-lieu de la commune de Harbil, a vécu depuis samedi 11 janvier, des moments festifs, au rythme des préparatifs des fêtes de Yennayer, le nouvel an amazigh, et du Mouloud, anniversaire de la naissance du prophète de l’Islam, Mohammed, que le salut soit sur lui.
Dès samedi, les préparatifs de l’Ouzia ou timechrith, ont commencé: trois génisses ont été immolées près de l’ancienne fontaine, Aïn Ledjnane, désormais désaffectée, dans une ambiance joyeuse, surtout pour des dizaines d’enfants, ravis de pouvoir gambader et toucher de près les animaux.
Le dimanche a été consacré à la découpe des animaux, à la vente aux enchères des têtes et des peaux. Le lundi, la viande a été partagée en plus de 200 parts, au prix de 2.000 dinars l’une. Déjà, dans les foyers, les cardons et les navets, les rois incontestés du couscous, sont prêts pour rehausser le goût du bouillon et la viande tendre et gouteuse.
Les habitants ont ainsi retrouvés, pour quelques jours, les habitudes de leurs ancêtres et les traditions de partage et d’entraide qui les caractérisent.
Larbi Kordjani

والله ما تحشم ووالله إنك لكذّاب أشر...متى احتفلت كرجانة بيناير أو عرفته..,,أنت لا تعرف كرجانة ولا تعلم عنها شيئا,,,ولو صدقت لعلمت أن سكان كرجانة يتكلمون العربية ...وليسوا معدودين في القبائلكرج

je n'avais lu cette réponse pleine d'ignorance et de haine de celui qui ose signer "kordjani koh". J'affirme que Kordjana, même parlant arabe, un arabe truffé de mots kabyles, fait partie de l'amazighité, une des composantes de notre identité. Aussi loin que je, me souvienne, j'ai toujours vu mes parents et grands parents, fêter yennayer, n'en déplaise à cette personne qui ne connait Kordjana et ses traditions ne près ni de loin. A bon entendeur.

Certains individus, parce qu'ils portent une barbe et une gandoura, se permettent de remettre en cause des traditions millénaires de nos ancêtres. L'ouziaa, qui entre dans le cadre de la touiza, tradition ancestrale d'entraide et de partage ne contredit pas l'islam mais s'inscrit en droite ligne de ses préceptes, n'en déplaise aux ignares portant barbe et ne possédant aucune culture ni connaissances religieuses.
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